vendredi 15 juillet 2011

Les nombreux questionnements au cours de la vie d'un observatoire

La constitution d'un observatoire est un éternel recommencement :

  • D'une part parce qu'il faut s'adapter au projet pour lequel il a été construit : le PLH dans mon cas qui arrive à terme au bout de six ans, mais aussi s'il est construit au service du pilotage d'une structure intercommunale car il doit s'adapter à l'évolution du contexte et des objectifs.
  • D'autres part, parce que cette observation est liée à de nombreux facteurs extrêmement évolutifs :
    • les évolutions législatives qui peuvent simplifier certains accès aux données ou à l'inverse les complexifier,
    • l'évolution des partenariats,
    • l'évolution des techniques avec, par exemple, l'évolution très rapide des technologies SOLAP et de tout ce qui relève de la "business intelligence",
    • l'évolution des données comme par exemple l'abandon par l'INSEE des CSP au profit des PCS.

Autour de ces questions, la problématique permanente de l'observation porte sur le temps et les moyens qu'on lui accorde. L'observation est une discipline invisible et difficile à mettre en valeur. Pourtant, la simple signature d'une convention demande beaucoup de temps et d'énergie.

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